Mode D’emploi

Cette nouvelle machine est le fruit d’une liaison approfondie entre plusieurs connaissances. Historiquement et techniquement, le procédé reprend celui de l’entreprise Natarys, amendé par les résultats des expériences des pépinières de Gaujacq découlant en ligne directe de l’expertise initiale des pépinières Guichard (1860), puis par celle les pépinières Anne et Claude Thoby (1954), et enfin par celle de Frédérique et Jean Thoby au Plantarium® de Gaujacq depuis 1985. C’est en étudiant en profondeur la phytoneurologie à partir de 2012 que cette machine a pu être mise au point.

L’idée générale de la méthode est de comprendre, en premier principe de base, qu’aucun organisme vivant n’est pathogène en tant que tel. Il est toujours vrai qu’un excédent de population dans un milieu donné (virus, insectes ou champignons…) est fortement problématique, puisque parlant ici d’excédent, de surcharge, de surnombre, nous parlons d’un déséquilibre. Or nous avons découvert depuis peu que ces organismes ont pourtant un rôle positif lorsqu’ils sont juste présents dans le milieu, ils nous semblent nécessaires à l’équilibre général. Ce concept n’a jamais été étudié et ce sont nos expériences durant des années qui nous conduisent à une telle conclusion.

Notre nouvelle approche a fait évoluer nos comportements et nos pratiques. Les résultats que nous constatons chez nous comme chez nos clients sont bénéfiques bien au delà de nos espérances. Le second principe de base est de considérer que le règne végétal, et lui seul, sait parfaitement gérer les relations avec son environnement . Ainsi le soin donné à la plante consiste simplement à lui transmettre une série d’informations utiles que nous avons déposées au préalable dans de l’eau. Irrigation ou pulvérisation classique lui donnent alors la vitalité nécessaire pour faire les bons choix pour son développement .

Nous utilisons cette méthode au Plantarium® de Gaujacq depuis longtemps. Aujourd’hui des producteurs en horticulture, pépinière, viticulture, floriculture, agriculture témoignent, se déclarant très satisfaits par les résultats obtenus, attestent de la grande efficacité du Biodynamiseur Botanique de Gaujacq, et nous encouragent à passer à la phase de commercialisation.

GARANTIE

Le Biodynamiseur Botanique de Gaujacq est garanti 10 ans dans le cadre d’une utilisation conforme aux recommandations :

  • L ‘appareil ne doit JAMAIS être exposé à la chaleur ou au froid ( 0°C à 30°C), ni être exposé au soleil.
  • Stockage et préparation des eaux sont réalisés impérativement à l’intérieur des bâtiments.
  • Il doit être branché sur le secteur protégé contre la foudre,
  • Il doit être branché sur une prise terre opérationnelle; bien vérifier ce point. En effet, sans le branchement à la terre, l’appareil n’est pas fonctionnel.
  • Ne pas faire fonctionner le Biodynamiseur Botanique de Gaujacq quand il est trop proche d’appareils informatiques, serveurs….

PREPARATION des EAUX

  • Remplir le récipient au maximum en employant de l’eau de pluie, de source, de l’eau osmosée ( principe Natarys sans électrode d’argent). Éviter les eaux des services publics, les eaux stagnantes, de ruissellement sur une exploitation agricole, de recyclage si celui ci intègre des matériaux métalliques comme le zinc….ou des canalisations ayant connu des molécules de synthèse.
  • Positionner correctement les barres de métaux fournies selon les besoins (à minima celles de carbone et de cuivre). La série de base comprend aussi argent et fer. Par la suite et en option, il est possible d’acquérir d’autres matériaux, notamment des oligo-éléments plus rares. Des informations seront disponibles prochainement sur une notre site Internet
  • Placer le bocal sur le réceptacle prévu à cet effet. Brancher le biodynamiseur botanique à une prise de courant munie d’une fiche terre opérationnelle. A la base du bocal une LED bleue s’allumera. Celle-ci amène à l’eau sur ses ondes lumineuses une information de musique symphonique et harmonique. Cette information est capitale pour l’équilibre des cultures.
  • Laisser agir au moins 8 heures. ( Brancher le soir pour avoir la préparation dès le lendemain matin. )
  • Une fois la solution prête, débrancher le BBG et mélanger l’eau ainsi biodynamisée avec de l’eau dont les « ppm » sont inférieurs à 120 (pluie, rivière, puits…) dans un pulvérisateur n’ayant jamais reçu de molécule de synthèse. Comme il ne s’agit pas de dilution mais simplement d’information, il est possible de mélanger sans perte d’informations l’eau biodynamisée aussi bien dans 10 ou 20 litres d’eau que 400 litres (dans un pulvérisateur de tracteur par exemple), ou même dans une réserve d’eau de 20 ou 2000M3. Il est possible également d’utiliser un dosatron ( L’idéal étant que cette eau ne soit pas en contact avec du métal).
  • Attendre 10 à 15 mn avant de pulvériser l’eau préparée.
  • Ranger avec soin tout le matériel après utilisation.
  • Ne jamais manipuler les électrodes lorsque l’appareil est sous tension.

UTILISATION de BASE

Pour des premières utilisations ,vous pouvez procéder à la mise en place de témoins afin de comparer les effets des différentes méthodes . Cela vous donnera confiance dans vos décisions. La préparation « basique » donne la plupart du temps des résultats très prometteurs sur beaucoup de phénomènes:

  • Blocages inexpliqués des cultures courtes: Chrysanthèmes, Pelargonium ……y compris dans le cas d’un surdosage issu d’un mélange avec des molécules de synthèse dans le cadre d’une culture conventionnelle par exemple.
  • Prolifération non contrôlable d’Oidium, Pythium, Mildiou… en horticulture comme en pépinières ou espaces verts, en intérieur comme en extérieur.
  • Actions en régulation sur l’ensemble des cryptogames.
  • Actions en régulation sur les insectes .
  • Accélération du développement des semis après trempage dans de l’eau dynamisée avec carbone et cuivre + LED . Sur les cultures de Camellia, en un an, nous avons mesuré des plantes entre 25 et 80 cm, contre 2,5 et 15 cm pour la zone témoin.
  • En préventif sur des risques de sécheresse.
  • La liste n’est pas exhaustive…
  • Actions en régulation sur la consommation en eau des végétaux: – 50% sur l’ensemble des essais réalisés avec mesures.
  • Stimulation de l’enracinement sur les jeunes végétaux avant plantation, rempotage ou semis.

UTILISATIONS AVANCEES

Introduction: l’expérience acquise nous permet de proposer sur devis un service supplémentaire dans le cadre d’une problématique majeure nécessitant une étude complémentaire. Le principe de base sera donc élargi en appliquant les soins enrichis avec des informations d’une part d’oligo-éléments, comme le sélénium, le molybdène…….d’autre part de musiques de plantes identifiées pour avoir des actions complémentaires grâce à nos recherches en Phyto-Scan ( protéodies naturelles), ou encore des musiques spécifiques étudiées et écrites par des génodiciens (protéodies de synthèse).

L’appareil est muni d’une prise mini jack permettant l’addition d’autres moyens d’équilibrer les informations nécessaires aux soins avec des musiques spécifiques, via un ordinateur ou un iPad etc….C’est à ce niveau que notre expérience est avant-gardiste. Ces musiques sont choisies en fonction des besoins, soit à partir de celles émises par les plantes elles-mêmes, selon un procédé exclusif mis au point par Jean & Frédérique Thoby, soit par création de protéodies composées strictement par les détenteurs du brevet (www.genodics.com) . Nous travaillons ensemble sur différents sujets , en particulier sur les protéodies dédiées à une problématique particulière ayant donné lieu à une étude approfondie complémentaire (sur devis) .

LES AVANTAGES MAJEURS

Par expérience, dans le cadre de nos cultures et plantations voici présentés quelques uns des très nombreux avantages du procédé.

  • Nous n’utilisons aucune molécule de synthèse. Les cultivateurs souhaitant produire en BIO s’adaptent au BBG avec beaucoup de facilité.
  • L’utilisation est absolument neutre puisque nous avons de l’information et non un produit. Il n’y a donc pas lieu d’avoir des protections importantes. Cependant, selon le principe général de précaution, les soins par pulvérisation d’eau dynamisée se feront en conformité avec les règles habituellement appliqués à ceux réalisés avec des produits de synthèse, notamment pour l’opérateur ( ne pas pulvériser contre le vent etc…).
  • Les effets sont souvent rapides. Dans le cadre de nos essais, nous avons constaté qu’il faut 48 heures pour une lever de dormance, 24 heures pour enrayer une attaque importante d’araignées rouges, 12 heures pour lever un blocage sur Chrysanthèmes, une saison pour réduire (proche de zéro) une présence d’oïdium sous serre, une saison pour donner aux végétaux restant sur place une meilleure résistance à la sécheresse, jusqu’à permettre de diviser par deux les apports d’eau en irrigation.
  • Le principe majeur du système est de re-dynamiser la plante elle même, en lui donnant l’énergie nécessaire et suffisante pour qu’elle puisse retrouver son autonomie et améliorer son métabolisme.
  • L’utilisation du BBG est très simple.
  • 80 % des cas sont résolus par et dans la configuration de base, sans études spécifiques.
  • L’application est possible juste avant les pluies (20 min suffisent à la diffusion des informations dans les végétaux)
  • Sur certaines terres, et dans le cas de cultures en pleine terre sous tunnels, une seule année de suivi permet d’enrayer les mildious pendant plusieurs années.
  • Un abonnement mensuel ( tarification selon la taille d’entreprise) permet de recevoir les informations actualisées par période issues de nos recherches appliquées.L’avantage pour l’utilisateur est d’améliorer d’année en année non seulement l’efficacité du Biodynamiseur Botanique de Gaujacq, mais aussi ses propres connaissances. De la même manière, nous recommandons le partage des propres expériences de chacun pour construire ensemble une belle communauté de progrès environnemental.

PRINCIPES DU FONCTIONNEMENT TECHNIQUE DE BASE DU BBG

La mise sous tension électrique de l’eau au moyen d’électrodes a base de métaux très purs (à 98 ou 99%) laisse une signature dans l’eau qui a un effet équivalent à celui des métaux constituant les électrodes (procédé Bignand-Violet). Des analyses sont en cours pour tenter de mettre en évidence la présence d’espèces dissoutes provenant des électrodes. Indépendamment de ces mesures, on sait que s’il y a dissolution partielle des électrodes dans l’eau, les concentrations doivent être très faibles. Cela signifie donc, que comme pour les dilutions homéopathiques, l’eau se retrouve de fait « informée », au niveau de ses domaines de cohérence, par les signaux électromagnétiques en provenance des électrodes. 

Par la LED, l’eau reçoit aussi des informations sous forme de lumière d’ondes musicales harmoniques en provenance d’une musique de plantes, ou de protéodies calculées par les génodiciens. Ces ondes vont interagir avec les ondes d’échelles émises par tout être vivant en croissance, conformément à la théorie du physicien Joël Sternheimer.Des condensateurs spécifiques permettent en outre à l’appareil d’ajouter, via la LED, des fréquences électromagnétiques provenant des claquages du diélectrique de ces condensateurs de manière à reproduire l’équivalent d’une pluie d’orage.